Evolutions et extensions successives de l’Association
Le temps de la fusion (2009)
Historique de l’Institut Pierre Boulenger
Le droit à l'autonomie (1997-2004)
Le droit à l'autonomie (suite 1)
Le droit à l'autonomie (suite 2)
Le droit à l'autonomie (suite 3)
Le droit du Travail (1987-1996))
Le temps des Bâtisseurs (1975-1987)
Le temps des pionniers (1963-1975)
Le droit du travail (1988 - 1996)
Le 24 septembre 19884
Confiance lance ce projet pour 50 travailleurs. La municipalité de Rambouillet a proposé un terrain dans la zone du Bel Air, à des conditions financières favorables.
1989
Projet déposé en avril, accepté en septembre, puis “rejeté en l’état” en octobre : manque de moyens. Confiance déclenche un recours hiérarchique et mobilise l’UNAPEI et les élus locaux qui interviennent vigoureusement.
1990
En novembre, agrément technique, puis autorisation de création. La zone du Bel Air s’est installée : le terrain réservé au C.A.T. a rétréci de quelques ares, le bâtiment n’y entre plus... Il faut tout reprendre au début !
1991
Permis de construire accordé en juin, appel d’offres lancé en juillet. À l’ouverture des offres : dépassement significatif du budget prévu ! Confiance obtient une révision de l’agrément pour 60 travailleurs et la prise en compte du surcoût.
1992
Avec le soutien des élus, déblocage en décembre de la subvention de l’État.
1993 : le CAT Le Chêne
Premiers coups de pelle en mars.
Ouverture du C.A.T. le 4 octobre. Le financement du projet a nécessité un apport substantiel de fonds propres.
Confiance s’est mobilisée pour les réunir. Spontanément, le Rotary Club de Rambouillet et son “jumeau” allemand l’ont aidée par des dons importants.
Une “grande tombola” a été organisée par Confiance avec le parrainage et une aide en moyens du Rotary en 1991, à l’occasion de la Foire de Rambouillet, avec comme 1er prix une voiture !
Dons et tombola ont apporté la moitié de l’autofinancement requis.
1996
Création de Cinq activités de production opérationnelles au C.A.T.: “espaces verts”, “restauration”, “conditionnement”, “routage” et “reprographie”. Associées à des soutiens (scolaires, vie sociale, sport, loisirs), elles constituent une passerelle vers une insertion dans le monde du travail ordinaire. Le nombre de clients est déjà supérieur à cent.
Que devient l’I.M.E. “Le Castel” ?
Il a perdu son statut “d’enfant unique”, mais il n’est pas oublié. L’amélioration des moyens, pour une prise en charge médico-éducative de qualité se poursuit : mises en conformité, réhabilitation et extension.
Dans le “château”, une salle polyvalente (utilisée pour la psychomotricité) est créée. Le “pavillon” est aménagé (classes, puis bureaux).
La mixité de l’I.M.Pro est acceptée au 1er janvier 1990
En 1996
l’I.M.Pro construit 2 voiliers télécommandés qui régateront, en 1997, avec un I.M.Pro des Mureaux, sur les étangs de Hollande.
Confiance se structure et s’intègre dans le tissu associatif.
De nombreux mouvements d’administrateurs ont lieu.
Fin 1989, les deux derniers représentants de l’équipe des pionniers de 1964 quittent le conseil après 25 ans d’un travail acharné.
La situation financière de Confiance est maintenant saine.
La kermesse du “Castel” est un “classique” des animations de la région ; les cartes de vœux un “rituel”... très prenant pour les vendeurs.
1989
Bicentenaire de la Révolution et 25ème anniversaire de Confiance : plusieurs actions de promotion de l’œuvre de l’association, d’explication du handicap mental et de collecte de fonds.
Le premier logo de Confiance, édité sur support autocollant, est vendu aux collectionneurs et amis.
L’association participe à la Fête du Muguet. Son char fleuri, le “Génie de la Bastille”, est primé. Confiance remporte le 5ème prix des vitrines décorées avec une reproduction de la “Chaumière des Coquillages” dans la vitrine de sa permanence.
Pour la Saint-Lubin, cette permanence est “déguisée” en échoppe de l’Écrivain Public” devant laquelle parents et amis, en costumes du XVIIIe siècle, tiennent une vente de livres.
Le droit au travail des adultes handicapés mentaux est acquis. Il faut maintenant faire reconnaitre le droit à l’insertion dans la vie de la cité.